Tout le monde parle à ma place,
Tout le monde pense à ma place,
Tout le monde prend mon "chez moi" comme une résidence secondaire . Ils entrent en terrain conquie sans savoir si moi ça me dérange !
Mon corps est fatigué,
Mon moral faiblie...
Je déprime comme on marche le long d'une rivière.
Cet impression lancinante de ne pouvoir contrôler ma vie comme je l'entend.
On me presse comme un citron pour un oui , pour un non.
Fait-ci , fait-ça, faut faire-ci, faut faire-ça... je suis épuisée...
Il y a peu on m'a tellement " tapée sur la gueule " que j'avais l'impression d'être qu'une moins que rien. Je ne faisait jamais rien de bien, ni comme il faut. A un moment quand il y avait des choses à dire c'était toujours sur moi que ça retombait , comme si j'étais la seule sur la planète à devoir encaisser les coups ! ( Je ne suis pas une femme battue.. c'est un état d'esprit !)
Je voulais partir, disparaître sans regret puisque je ne valais rien. Je glissais lentement sur cette pente douce qui nous guide vers ce trou noir. Rien ne me raccrochais vers ce qu'on appel le bonheur. Même ma famille n'aurait réussi à me rattraper.
Et puis je suis retourné au boulot. Je me sents mieux , je rigole, je parle , j'ai des liens sociaux ! ... Mais je vois bien que mes vieux démons sont toujours là et ne demandent qu'à revenir. Alors je cache comme je peux , je masque et j'avance.
En même temps faut bien parcequ'on ne peut pas faire autrement.
Tout le monde pense à ma place,
Tout le monde prend mon "chez moi" comme une résidence secondaire . Ils entrent en terrain conquie sans savoir si moi ça me dérange !
Mon corps est fatigué,
Mon moral faiblie...
Je déprime comme on marche le long d'une rivière.
Cet impression lancinante de ne pouvoir contrôler ma vie comme je l'entend.
On me presse comme un citron pour un oui , pour un non.
Fait-ci , fait-ça, faut faire-ci, faut faire-ça... je suis épuisée...
Il y a peu on m'a tellement " tapée sur la gueule " que j'avais l'impression d'être qu'une moins que rien. Je ne faisait jamais rien de bien, ni comme il faut. A un moment quand il y avait des choses à dire c'était toujours sur moi que ça retombait , comme si j'étais la seule sur la planète à devoir encaisser les coups ! ( Je ne suis pas une femme battue.. c'est un état d'esprit !)
Je voulais partir, disparaître sans regret puisque je ne valais rien. Je glissais lentement sur cette pente douce qui nous guide vers ce trou noir. Rien ne me raccrochais vers ce qu'on appel le bonheur. Même ma famille n'aurait réussi à me rattraper.
Et puis je suis retourné au boulot. Je me sents mieux , je rigole, je parle , j'ai des liens sociaux ! ... Mais je vois bien que mes vieux démons sont toujours là et ne demandent qu'à revenir. Alors je cache comme je peux , je masque et j'avance.
En même temps faut bien parcequ'on ne peut pas faire autrement.

Mais bon il parait que je suis une personne forte ... il parait ...
Je fatigue,
Je sature,
J'en ai marre,
J'en peu plus...
C'est quoi une vie parfaite qu'on a que du bois presque pourri pour en faire la charpente.
Une vie parfaite avec une maison parfaite c'est comme une grossesse parfaite ... ça n'existe pas !